31e congrès français de rhumatologie

09.12.2018 au 11.12.2018 - Paris
31e congrès français de rhumatologie

Le 31e congrès français de rhumatologie s'est déroulé à Paris du 9 au 11 décembre 2018. Morceaux choisis.

Compte-rendus du congrès

31e congrès français de rhumatologie

Gonarthrose: pas d’augmentation du risque de PTG en cas d’infiltration antérieure

  • 30 avril 2019

L’effet structural à long terme des infiltrations intra-
articulaires de corticostéroïdes et d’acide hyaluronique dans la gonarthrose est débattu. Certaines études suggèrent en effet que l’acide hyaluronique diminue le recours à la prothèse, tandis qu’une étude récente suggère, à l’inverse, que les infiltrations répétées de corticostéroïdes aggravent les lésions chondrales.

31e congrès français de rhumatologie

Cryothérapie corps entier 
en cas de spondyloarthrite axiale

  • 30 avril 2019

La cryothérapie exerce un effet antalgique et anti-inflammatoire, et ce pour plusieurs raisons.

31e congrès français de rhumatologie

Cascade de fractures vertébrales en cas d’ostéoporose secondaire

  • 30 avril 2019

La fracture vertébrale est la plus fréquente des fractures ostéoporotiques et constitue un facteur de risque important de fractures non traumatiques ultérieures: 23% dans la 1ère année, 54% dans les 5 ans.

31e congrès français de rhumatologie

COMEDSPA souligne la nécessité de chercher les comorbidités en cas d’axSpA

  • 11 mars 2019

Les patients atteints de spondyloarthrite axiale (axSpA) ont un risque accru de développer certaines comorbidités, qui peuvent influencer le devenir de la maladie et du patient.

31e congrès français de rhumatologie

SELECT-COMPARE met l’upadacitinib en exergue

  • 11 mars 2019

L’upadacitinib est un ihibiteur JAK (Janus Kinase) sous forme orale développé pour présenter une sélectivité plus importante sur JAK1 que sur les autres JAK. Il a démontré son efficacité dans l’arthrite rhumatoïde chez des patients ayant une réponse inadéquate aux traitements de fond conventionnels et aux biologiques.

31e congrès français de rhumatologie

Baisse d’ostéocalcine et risque de diabète

  • 08 mars 2019

Les études animales ont révélé que l’os est aussi une glande endocrine active sur le métabolisme énergétique via au moins une hormone, l’ostéocalcine, qui régule la sécrétion d’insuline par les cellules β pancréatiques et la sécrétion d’adiponectine par les adipocytes.

31e congrès français de rhumatologie

DESIR montre une variation des biomarqueurs de la régulation osseuse en fonction du traitement en cas de SpA

  • 02 janvier 2019

DESIR est une cohorte prospective, multicentrique de 708 patients atteints de rachialgie inflammatoire chronique, récente (> 3 mois, < 3 ans), suggestive de SpA axiale...

31e congrès français de rhumatologie

Hormonothérapie substitutive et risque d’arthrite rhumatoïde: des relations suspectes

  • 02 janvier 2019

L’arthrite rhumatoïde est plus fréquente chez la femme, avec 2 pics de fréquence: vers 45 ans et après la ménopause...

31e congrès français de rhumatologie

Néphropathie microcristalline: une complication classique mais oubliée de la goutte

  • 02 janvier 2019

La présence de dépôts uratiques dans la médullaire rénale apparaît fréquente dans la goutte tophacée...

31e congrès français de rhumatologie

Arthrite rhumatoïde: les sémaphorines, une nouvelle cible potentielle

  • 02 janvier 2019

L’analyse de l’expression génique des cellules endothéliales (essentielles à la formation des néovaisseaux fréquents dans le pannus synovial de l’arthrite rhumatoïde) a permis d’identifier les sémaphorines comme nouveaux acteurs de l’arthrite rhumatoïde.

31e congrès français de rhumatologie

Arthrite rhumatoïde: TNF membranaire sur les monocytes sanguins, un nouveau biomarqueur spécifique?

  • 02 janvier 2019

L'expression augmentée de TNF membranaire sur les monocytes sanguins est un biomarqueur spécifique de l’arthrite rhumatoïde...

31e congrès français de rhumatologie

Arthrite rhumatoïde: de l’importance du micro-RNA-155

  • 02 janvier 2019

Les patients atteints d’arthrite rhumatoïde ont un défaut de différentiation des monocytes sanguins...

31e congrès français de rhumatologie

Spondylarthrite: l’atteinte de la paroi thoracique antérieure est un marqueur de l’activité de la maladie

  • 02 janvier 2019

L’atteinte de la paroi thoracique antérieure (PTA) est fréquente en cas de spondyloarthrite (34 à 44% dans les formes précoces et 37 à 58% dans les formes avancées) et augmente avec l’âge...

31e congrès français de rhumatologie

Spondylarthrite: rechercher systématiquement la sarcopénie

  • 02 janvier 2019

Les maladies inflammatoires chroniques sont associées à un risque de perte musculaire. Le dépistage de la sarcopénie est dès lors un enjeu chez les patients atteints de spondyloarthropathies...

31e congrès français de rhumatologie

Spondylarthrite: quel impact de l’obésité en cas de spondyloarthrite axiale?

  • 02 janvier 2019

Reprenant les données de 683 patients suivis pour axSpA , Pascal Chaudepierre (Créteil) les a répartis en deux groupes suivant leur IMC: obèses (≥30 kg/m²) et non-obèses (<30 kg/m²)...

31e congrès français de rhumatologie

Spondylarthrite: les traitements biologiques modifieraient le phénotype immunitaire

  • 02 janvier 2019

L’impact de ces traitements sur le système immunitaire et en particulier sur les cellules immunitaires est inconnu. Observer des modifications des profils cellulaires sous ces traitements pourrait aider à mieux comprendre leurs mécanismes d’action...

31e congrès français de rhumatologie

Arthrite rhumatoïde: les localisations des atteintes articulaires auraient-elles une valeur pronostique?

  • 02 janvier 2019

Les patients souffrant d’arthrite rhumatoïde précoce présentent souvent des atteintes articulaires multiples et variables dont on ne connaît pas bien la signification. Devant la grande diversité des présentations cliniques, les facteurs pronostiques sont importants pour déterminer l’approche clinique et la stratégie du traitement. Les localisations seraient-elles un indice pronostique de la maladie?

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Ponction-lavage échoguidée de l’épaule avec tendinite calcifiante de la coiffe des rotateurs: infiltrer ou pas ensuite?

  • 02 janvier 2019

Fréquente (20% des douleurs d’épaule), la tendinopathie calcifiante de la coiffe des rotateurs se voit souvent proposer une ponction-lavage-aspiration échoguidée en cas d’échec des traitements médicamenteux, suivie d’une infiltration de corticoïdes dans la bourse sous-acromiale à la fin du geste pour prévenir les douleurs induites par la procédure. Certains auteurs ont cependant suggéré que cette injection pourrait s’opposer à la réaction inflammatoire aboutissant à la disparition de la calcification...

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Spondylarthrite: l’algorithme de Berlin pourrait permettre de prédire l’efficacité des anti-TNF

  • 28 décembre 2018

L’étude rétrospective réalisée via la file active de patients atteints de SpA suivis au CHU de Rouen de 2005 à 2015 et recevant un biomédicament anti-TNFα, et présentée par Christelle Princivil (Rouen), avait pour but de comparer le taux de réponse aux anti-TNFɑ dans les huit groupes de patients inspirés par l'algorithme de Berlin.

31e congrès français de rhumatologie

ESPOIR: les données de maintien thérapeutique en fonction de l’âge en cas d’arthrite rhumatoïde

  • 28 décembre 2018

Le nombre de patients avec une arthrite rhumatoïde du sujet âgé (>75 ans) augmente. Et ces individus ont fréquemment des comorbidités cardiovasculaires, des facteurs de risque d’infection ou sont tout simplement fragiles, ce qui pourrait expliquer un moins bon maintien thérapeutique ou une moindre propension à proposer des DMARDS alors que la littérature conseille le même traitement que chez les patients plus jeunes.

31e congrès français de rhumatologie

Cellules souches mésenchymateuses sénescentes: une nouvelle cible possible dans l’arthrose

  • 28 décembre 2018

L’accumulation tout au long de la vie de cellules sénescentes exprimant le marqueur p16INKK4A est associée à l’apparition de maladies du vieillissement telles que l’arthrose. Ces cellules sénescentes induisent une perte de fonction du tissu à travers un phénotype sécrétoire particulier appelé SASP.

31e congrès français de rhumatologie

Premières recommandations de la Société Française de Rhumatologie sur la prise en charge pharmacologique de la gonarthrose

  • 28 décembre 2018

Adoptant la méthode Delphi avec un groupe de bibliographie et un groupe de travail, tous les deux composés de rhumatologues privés et hospitaliers, de médecins rééducateurs, de chirurgiens orthopédistes, de rhumatologues algologues, de généralistes et de patients, la Société Française de Rhumatologie a présenté ses premières recommandations de prise en charge de la gonarthrose.

31e congrès français de rhumatologie

Arthrite rhumatoïde: actualisation 2018 des recommandations de la SFR

  • 28 décembre 2018

Les dernières recommandations de la SFR dataient de 2014. Celles de l’EULAR de 2016. Or, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis lors, raison pour laquelle la SFR a actualisé ses recommandations selon une méthode proche de la méthode Delphi.

31e congrès français de rhumatologie

Spondyloarthrite axiale: quelle prise en charge en 2018?

  • 28 décembre 2018

De nombreuses nouvelles cibles sont apparues récemment pour le traitement de la spondyloarthrite axiale, ce qui a conduit la Société Française de Rhumatologie à actualiser ses recommandations que Daniel Wendling (Besançon) a résumées en 14 points.

31e congrès français de rhumatologie

Cascade de fractures vertébrales: y veiller tout particulièrement en cas d’ostéoporose secondaire

  • 28 décembre 2018

La fracture vertébrale est la plus fréquente des fractures ostéoporotiques et est un facteur de risque important de fractures non-traumatiques ultérieures. Une fracture vertébrale récente peut être associée à un risque imminent de récidive, conduisant parfois au phénomène de cascade de fractures vertébrales, dont les conséquences peuvent être sévères.

31e congrès français de rhumatologie

Maladies musculosquelettiques: un impact mondial marqué en qualité de vie

  • 28 décembre 2018

Les maladies musculosquelettiques, fréquentes, se caractérisent par une faible mortalité mais un fort retentissement fonctionnel et un poids économique important, lié à l’absentéisme et au présentéisme au travail ainsi qu’à l’aspect chronique de la maladie.

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