Avec la prise en charge de pathologies très communes comme la goutte ou la gonarthrose, on est plongé dans le quotidien et ses «petites tracasseries». Mais la session Late Breaking s’intéressait aussi à des pathologies plus rares, telles que la maladie liée aux IgG4 et, dans une moindre mesure, le lupus cutané, avec l’apparition de nouvelles classes thérapeutiques dont on ne mesure pas encore exactement l’impact. Enfin, l’arthrite rhumatoïde voit un nouvel agent biologique pointer…