Le congrès de l'ESMO s'est déroulé du 7 au 11 octobre à Copenhague.
Morceaux choisis.
INCIP (International Network on Cancer, Infertility and Pregnancy), un registre européen de recueil de données sur les relations entre grossesse et cancer soutenu par l’ESGO, a fêté récemment son 10ème anniversaire...
Le sunitinib est l’un des traitements de référence du cancer du rein métastatique. Mais des résistances surviennent parfois rapidement, fréquemment médiées par AXL et MET que cible le cabozantinib en plus du VEGFR...
La clustérine, une protéine qui joue un rôle dans les phénomènes apoptotiques, est fréquemment surexprimée dans le cancer de la prostate...
Un patient sur deux récidive après néphrectomie pour cancer du rein locorégional (≥T3 et/ou N1-2). Il est donc logique de tenter un traitement adjuvant...
La chimiothérapie adjuvante n’est pas le traitement standard en cas de sarcome des tissus mous car les études sont contradictoires à son propos. Elle fait cependant partie des options envisageables...
On ne dispose que de peu d’options en cas de cancer de l’ovaire récurrent. Fort heureusement, l’inhibition de PARP se précise en tant qu’interlocuteur de premier ordre depuis une première étude qui avait montré l’intérêt de l’olaparib.
Après avoir constaté l’intérêt de l’immunothérapie en monothérapie en première ligne d’un NSCLC de stade avancé, la question de l’intérêt de son association à la chimiothérapie se posait tout naturellement.
Le pembrolizumab se positionne aujourd’hui clairement parmi les traitements de première ligne en cas de cancer du poumon de stade avancé avec forte expression de PD-L1.
Ajouter un inhibiteur CDK4/6, le ribociclib en l’occurrence, à l’hormonothérapie (ici le letrozole) améliore la survie sans progression (PFS) de femmes post-ménopausées qui présentaient un cancer du sein de stade avancé avec récepteurs hormonaux positifs.
Inhiber CTLA4 a fait ses preuves en cas de mélanome métastatique ou de stade avancé. C’est aussi le cas lorsqu’on le propose en adjuvant chez des patients avec mélanome de stade III à haut risque.
Si le crizotinib est le traitement de référence en cas de NSCLC avec réarrangement ALK/EML4, son efficacité est aujourd’hui réduite par l’apparition de nombreuses mutations.
Après avoir enrôlé 1.225 patients avec NSCLC de stade avancé ou métastatique en progression pour recevoir soit de l’atezolizumab, un inhibiteur de la liaison de PD-L1 aux récepteurs PD-1 et B7.1, administré à la dose de 1.200mg IV Q3W jusqu’à progression, soit du docetaxel 75mg/m2 Q3W, le doute n’est plus permis quant à l’utilité de l’immunothérapie dans cette indication...
En vous inscrivant gratuitement à notre newsletter hebdomadaire vous recevrez les dernières actualités de votre profession, mais bien plus encore …