Ils sont bien tolérés mais sans impact évident sur l’évolution clinique et structurelle. Environ 10% des sujets de plus de 55 ans ont une gonarthrose parlante cliniquement et à l’origine de multiples inconvénients sociaux et professionnels. S’il existe des traitements...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.