Les biomédicaments à dose standard ou élevée s’accompagnent d’un risque plus élevé d’infections graves que les DMARD classiques chez les personnes souffrant de polyarthrite rhumatoïde (PR). Cette relation n’existe pas avec les biomédicaments à faible dose. Telle est la conclusion que Singh et ses collègues tirent d’une revue systématique et d’une méta-analyse, dont les résultats ont été publiés dans the Lancet.
Ortho-Rhumato Vol. 23 N° 1
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